Éditeur : édition Harper Collins
Genre : Littérature française, contemporaine
Parution : 01 Octobre 2025, 400 pages
Lu le 29 octobre 2025
Ma note :
⭐⭐⭐⭐⭐
“Je vais te raconter une histoire, mon garçon.
Une histoire d'amour et de violence.
Une histoire que tu liras quand tu seras plus grand, bien plus grand. Car je n'en adoucirai pas les contours. Je n'occulterai ni la tragédie, ni les fêlures, ni la noirceur : comment te construire, si tu ignores ce qui se cache dans nos interstices ?
Chaque famille a ses silences.
Chez nous, les silences ne sont que des vacarmes suspendus.
Alors je vais tout te dire.”
En Belgique, Rose vit dans une petite maison isolée, en lisière d’une forêt sombre, à l’abri des regards lorsqu’elle tente de mettre fin à ses jours. Du moins, c’est ce que les policiers lui apprennent lorsqu’elle revient à elle, dans une chambre d’hôpital.
Car Rose a été retrouvée inconsciente sur une route, sa voiture encastrée contre un arbre, avec une lettre posée près d’elle. Après quelques jours de coma, elle se réveille à dans un hôpital de Bruxelles sans aucun souvenir. Ni son passé, ni son identité, ni même l’endroit d’où elle vient ne lui reviennent. Les seuls indices qui demeurent sont un numéro de téléphone et un prénom inscrits au stylo sur sa hanche.
À Toulon, à plusieurs centaines de kilomètres de là, Aïda, puéricultrice, vient d’être embauchée à la “Maison des Femmes”, un lieu où l’on soigne et accompagne les femmes victimes de violences ainsi que leurs enfants.
Sa mission consiste essentiellement à s’occuper des plus petits pendant le suivi des patientes. Elle s’adapte vite, s’attache aux femmes qu’elle côtoie et à ses collègues. Elle y rencontre aussi le jardinier bénévole, musicien à ses heures, qui apporte chaleur et réconfort.
Rose et Aïda ne se connaissent pas, ne se sont jamais croisées, et pourtant leurs destins sont étroitement liés.
“Le jour où Rose a disparu” est un roman sur les violences faites aux femmes et sur leur capacité à se reconstruire.
À travers l’intrigue et le mystère qui entourent Rose, on découvre une histoire poignante, portée par des personnages forts.
Romain, Ophélie et Léo viennent également éclairer le récit, chacun à leur manière.
C’est un roman choral à la construction maîtrisée dans lequel Julien Sandrel nous entraîne dans une histoire pleine de rebondissements et où les trajectoires se croisent et se séparent, avant que tout ne prenne sens lorsque les pièces du puzzle s’imbriquent enfin.
J’ai aimé suivre ces personnages, leur résilience et leur volonté de vivre, d’exister, de croire encore en un avenir meilleur malgré les épreuves traversées.
Une lecture que j’ai beaucoup appréciée.
Merci aux éditions Harper Collins pour cette très belle découverte.
Rose et Aïda ne se connaissent pas, ne se sont jamais croisées, et pourtant leurs destins sont étroitement liés.
“Le jour où Rose a disparu” est un roman sur les violences faites aux femmes et sur leur capacité à se reconstruire.
À travers l’intrigue et le mystère qui entourent Rose, on découvre une histoire poignante, portée par des personnages forts.
Romain, Ophélie et Léo viennent également éclairer le récit, chacun à leur manière.
C’est un roman choral à la construction maîtrisée dans lequel Julien Sandrel nous entraîne dans une histoire pleine de rebondissements et où les trajectoires se croisent et se séparent, avant que tout ne prenne sens lorsque les pièces du puzzle s’imbriquent enfin.
J’ai aimé suivre ces personnages, leur résilience et leur volonté de vivre, d’exister, de croire encore en un avenir meilleur malgré les épreuves traversées.
Une lecture que j’ai beaucoup appréciée.
Merci aux éditions Harper Collins pour cette très belle découverte.
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