Editeur : Editions Rivages
Genre : Littérature canadienne - post-apocalyptique
Parution : 24 Août 2016 - 480 pages
Ma note :
Canada, ville de Toronto.
Un soir d'hiver à l'Elgin Theatre, un acteur est terrassé sur scène par un infarctus, au quatrième acte du Roi Lear.
Au même moment, deux-cents personnes sont admises à l'hôpital, la plupart succombera dans les heures qui suivent. L'Amérique du Nord est alors touchée par une épidémie en provenance de Géorgie, en Europe de l'Est. La pandémie est brutale et foudroyante. Les trois-quart de la population est décimée en quelques jours. C'est l'apocalypse et seule une poignée d'humains survit.
Vingt ans plus tard, les villes sont mortes. Il n'y a plus de pays, ni d'électricité, ni d'essence, ni de médicaments. Plus aucune voiture, plus aucun avion ne circule. On vit n'importe où, même dans des ruines.
Une troupe itinérante composée d'acteurs et de musiciens parcourt la région du lac Michigan, en donnant des représentations car "survivre n'est pas suffisant".