Editeur : Editions Charleston
Genre : Littérature française, contemporaine
Parution : 17 Mars 2020 - 368 pages
Ma note : 💗
L'histoire...
2018.
A la suite d'un accident, Jo apprend qu'elle risque une rupture d'anévrisme à tout moment. Pour éviter cela, une intervention est possible mais ce n'est pas sans risque. Une décision s'impose. Elle décide de partir quelques jours à la campagne chez son grand-père pour réfléchir. Là-bas, elle se sent comme dans un cocon, en sécurité. Pour lui changer les idées, son grand-père lui parle d'un pendentif qu'il a reçu quinze ans plus tôt par une anglaise. N'en comprenant pas l'origine et persuadé qu'il s'agit d'une erreur, il convainc Jo de percer le mystère de cet objet et l'encourage à se rendre directement en Angleterre.
1929.
Charlotte et Emile quitte leur ferme dans le nord de la France pour effectuer un voyage d'affaire à New-York. Emile doit y conclure un marché de vente de champagne. Sur place, elle tombe sous le charme du beau Ryan et Emile s'en rend rapidement compte. Un matin, sans la réveiller, il quitte l'hôtel et embarque sur le bateau du retour en prenant soin d'emporter les papiers de Charlotte avec lui. Lorsque celle-ci ouvre les yeux, elle réalise que son mari est parti sans elle, qu'elle n'a plus de passeport, ni argent. Elle ne peut par rentrer en France alors que son bébé l'y attend.
Ce que j'en pense...
Les romans de Clarisse Sabard sont toujours un vrai plaisir de lecture. Elle y parle de femmes, au courage exemplaire, de secrets de famille et aime jouer avec les époques. "La femme au manteau violet" n'échappe pas à la règle. J'ai dévoré ce roman du début à la fin.
Quel bonheur de voyager avec Charlotte dans le New-York des années 1930. Je me suis totalement laissée bercer par l'ambiance du Cotton Club, au son des instruments, aux senteurs des cigares et des cocktails. On traverse la ville d'un bout à l'autre, on découvre les grandes avenues, les quartiers pauvres, les monde des bars et des mafieux. On entre dans l'univers de la nuit avec sa clientèle mixte. Les femmes se parent de belles tenues, elles sont élégantes et sûres d'elles, vivantes. On découvre la vie trépidante des gangsters.
Quel bonheur de voyager avec Charlotte dans le New-York des années 1930. Je me suis totalement laissée bercer par l'ambiance du Cotton Club, au son des instruments, aux senteurs des cigares et des cocktails. On traverse la ville d'un bout à l'autre, on découvre les grandes avenues, les quartiers pauvres, les monde des bars et des mafieux. On entre dans l'univers de la nuit avec sa clientèle mixte. Les femmes se parent de belles tenues, elles sont élégantes et sûres d'elles, vivantes. On découvre la vie trépidante des gangsters.
J'ai adoré cette période durant laquelle Charlotte découvre la place de la femme dans la société américaine, les relations avec la population afro-américaine. J'ai terriblement aimé suivre les liens passionnels qui l'unissent à Ryan.
En parallèle, nous suivons Jo qui fait le voyage en Angleterre. Elle y rencontre Doris, la femme au pendentif. C'est aujourd'hui une vieille femme. Lorsque Charlotte frappe à sa porte, elle n'y croit pas. Cela fait tellement longtemps qu'elle attend le moment où elle pourra enfin dévoiler son histoire pleine de passion.
J'ai beaucoup aimé cette alternance entre les deux époques et les personnages qui donne beaucoup de rythme à l'histoire. L'écriture est fluide et envoûtante. On se laisse totalement emporter par le mystère entourant cet objet entre la France, les Etats-Unis et l'Angleterre.
Une lecture coup de cœur que je ne peux que vous conseiller !
J'ai beaucoup aimé cette alternance entre les deux époques et les personnages qui donne beaucoup de rythme à l'histoire. L'écriture est fluide et envoûtante. On se laisse totalement emporter par le mystère entourant cet objet entre la France, les Etats-Unis et l'Angleterre.
Une lecture coup de cœur que je ne peux que vous conseiller !
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